Le Trouble du Déficit de l’Attention et de l’Hyperactivité (TDAH) est une affection, neuropsychiatrique assez répandue autant que la dépression et deux à trois fois plus fréquente que la schizophrénie.
Découverte au 18ème siècle, elle est génétique et périnatale dans 25 % des cas. Trop souvent méconnue,donc non diagnostiquée et non traitée, cette pathologie, existante chez l’adulte ainsi que chez l’enfant, touche au niveau biologique, psychologique, et les conséquences peuvent êtres, familiale professionnelle, financière, juridique et sociale.

Elle cause pourtant beaucoup de souffrances, d’échecs dans la construction de notre personnalité,mais également elle crée une instabilité professionnelle, sociale et conjugale.

Le corp médical en prend progressivement conscience, doù une visibilité accrue de la maladie, car plus on la trouve, plus on la cherche et plus on la cherche, plus on la trouve… On estime que 20 % des consultations chez le psychiatre pourraient justifier le diagnostic.

Elle a fait l’objet de beaucoup de recherches, et ses bases biochimiques, neuropsychologiques et génétiques sont déjà en bonne partie connues.

Initialement le diagnostique était réservé aux seuls enfants hyperactifs mais plus récemment encore des formes adultes, dont l’existence n’est plus mise en doute.

Même s’il n’y a pas encore de critères spécifiquement adaptés aux adultes, le diagnostic s’articule, comme chez l’enfant, autour de symptômes-clés (liés en particulier à la distractibilité, soit la difficulté de maintenir l’attention, en particulier sur des choses non captivantes, l’hyperactivité qui devient tension intérieure et l’impulsivité),

Arrivé à l’âge adulte, seule une minorité guérit, mais chez la plupart la conscience du problème augmente car l’inattention et ses conséquences persistent alors que l’hyperactivité se transforme en tension intérieure. Les conséquences afin de retrouver une « paix intérieure » peuvent etre la consommation excessive d’ alcool, cannabis ou tabac surtout).

Les maladies supplémentaires ou qui apparaissent sous forme de complications peuvent alors masquer le problème de fond : Souvent ce sont des dépressions, des troubles anxieux ou des phénomènes liées à des blessures psychiques, de l’obésité grave, des maladies cardiovasculaires.

​Après quelques sessions de Neurofeedback dynamique, la plupart des personnes atteintes de troubles de la concentration, ont constatés une meilleure réflexion, une pensée mieux canalisé et beaucoup plus constructive.